Pour cette troisième journée à Marbella, le programme des Pailladins était plutôt chargé. Une rencontre amicale au menu face à Wolsburg (Allemagne) le matin et un entraînement l’après midi. Pas de quoi se reposer pour les partenaires de Joris Marveaux.
C’est donc plus tôt qu’à l’accoutumée que les joueurs se retrouvaient pour prendre le petit déjeuner avant de quitter l’hôtel dès 9h10, juste après la causerie du coach. Après l’échauffement dirigé par Nicolas Girard, l’arbitre espagnol pouvait donner le coup d’envoi à 10h30 pour une opposition de 3*30 minutes.
Face aux Pailladins, des joueurs comme Diego, Grafite ou encore Barzagli. Et les Languedociens attaquaient bien la rencontre. Un coup franc d’Estrada tutoyait la barre transversale du portier allemand avant que Camara puis Collin n’échouent dans leurs tentatives. C’est Karim Aït-Fana qui pensait donner l’avantage aux siens. Une frappe de Giroud repoussée dans les pieds du n°18 montpelliérain qui ne se faisait pas prier pour faire trembler les filets. Mais l’arbitre assistant indiquait une position de hors jeu limite de l’attaquant du MHSC. Dur ! D’autant plus que sur leur première occasion, les joueurs de McLaren ouvraient le score. Grafite trompait Pionnier à bout portant après un bon travail initial de Diego.
Dans le second tiers temps, les allemands doublaient la mise. Grafite en renard des surfaces inscrivait son second but de la matinée alors que Koita et Lacombe buttaient sur le gardien adverse autour de jolies parades.
Ce même Lacombe tentait sa chance de loin et voyait sa frappe frôler le poteau gauche des « Vert et Noir ». Mais dans les dix dernières minutes, les coéquipiers de Kahlenberg (ex-Auxerre) inscrivaient deux nouveaux buts. Un sur coup franc direct, le second sur pénalty. Et c’est donc sur le score de 4-0 que l’arbitre mettait fin à l’opposition.
Le match terminé, direction l’Hôtel pour une paella sur les coups de 13h15. Une courte sieste et les hommes de René Girard retrouvaient les terrains d’entrainement à 16h30 pour deux ateliers spécifiques. L’un pour les défenseurs, l’autre pour les attaquants.
Deux heures plus tard, Cyril Jeunechamp et les siens profitaient des spas du centre d’entrainements pour se ressourcer un peu avant de reprendre la direction de l’Hôtel, de dîner puis de retourner dans les chambres ou se lancer dans une partie de poker pour profiter d’un petit moment sympa entre coéquipiers avec vue sur les palmiers.
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